Ce n’est pour l’heure qu’un projet en financement participatif, avec les risques que cela implique, ce n’est qu’une première version, qu’une première étape mais la caméra « Alice » marque peut-être un tournant dans le monde de l’imagerie. « Alice » est un appareil unique intégrant un support pour smartphone en son dos, puisque c’est une application dédiée qui le pilote et une monture et un capteur Micro 4/3 sur sa face avant. Avec son grip et son corps en métal, elle ressemble à un appareil photo hybride qui aurait oublié d’avoir un écran. Le concept initial est de mêler les performances d’imagerie d’une vraie caméra (capteur, optique) à l’ergonomie et les performances de calcul d’un smartphone. Côté imagerie, les ingénieurs d’Alice ont donc adopté le capteur Micro 4/3 de 10,2 Mpix qui équipe déjà le GH5s de Panasonic ou encore la Pocket Camera (version Micro 4/3) de Blackmagic. Un excellent choix pour faire de la 4K de grande qualité. Aux commandes de l’imagerie, un processeur de type FPGA (comme dans le Pixii d’ailleurs), qui permet à l’équipe de développement de pouvoir faire évoluer le traitement d’image. Alice se connecte sans-fil au terminal iOS ou Android, via une connexion Wi-Fi. Et une application, open-source s’il vous plaît, permet de piloter le tout. C’est pourquoi et c’est une première, l’équipe a intégré un chip très spécial sur la carte mère de la caméra : l’Edge TPU qui fait partie du projet "Coral". La campagne de financement est ouverte et tous les détails sont réunis sur cette page.
Ce n’est pour l’heure qu’un projet en financement participatif, avec les risques que cela implique, ce n’est qu’une première version, qu’une première étape mais la caméra « Alice » marque peut-être un tournant dans le monde de l’imagerie. « Alice » est un appareil unique intégrant un support pour smartphone en son dos, puisque c’est une application dédiée qui le pilote et une monture et un capteur Micro 4/3 sur sa face avant. Avec son grip et son corps en métal, elle ressemble à un appareil photo hybride qui aurait oublié d’avoir un écran. Le concept initial est de mêler les performances d’imagerie d’une vraie caméra (capteur, optique) à l’ergonomie et les performances de calcul d’un smartphone. Côté imagerie, les ingénieurs d’Alice ont donc adopté le capteur Micro 4/3 de 10,2 Mpix qui équipe déjà le GH5s de Panasonic ou encore la Pocket Camera (version Micro 4/3) de Blackmagic. Un excellent choix pour faire de la 4K de grande qualité. Aux commandes de l’imagerie, un processeur de type FPGA (comme dans le Pixii d’ailleurs), qui permet à l’équipe de développement de pouvoir faire évoluer le traitement d’image. Alice se connecte sans-fil au terminal iOS ou Android, via une connexion Wi-Fi. Et une application, open-source s’il vous plaît, permet de piloter le tout. C’est pourquoi et c’est une première, l’équipe a intégré un chip très spécial sur la carte mère de la caméra : l’Edge TPU qui fait partie du projet "Coral". La campagne de financement est ouverte et tous les détails sont réunis sur cette page.